Le directeur de l’institut pasteur et président du comité directeur de la campagne de vaccination anti Covid-19 Hachemi Louzir a affirmé dimanche, que le vaccin britannique « AstraZeneca » sera utilisé dès que possible dans les centres de vaccination désignés à cet effet.
Louzir a ajouté, dans une déclaration aux médias, en marge de la réception du troisième lot de vaccins contre le coronavirus dans le cadre de l’initiative mondiale « Covax », que le vaccin « AstraZeneca » a prouvé son efficacité, et des licences lui ont été accordées par plusieurs organismes sanitaires, dont l’Organisation mondiale de la santé, l’Agence européenne des médicaments et d’autres organisations.
Il a indiqué que les effets secondaires de ce vaccin sont très rares, et vont de un à deux sur un million de personnes, ajoutant qu’en vertu des recommandations des instances sanitaires, le vaccin AstraZeneca sera administré aux personnes âgées de plus de 60 ans.
Louzir a déclaré que de rares effets secondaires ont été observés chez les personnes dans la tranche d’âge des moins de 55 ans, et pour éviter leur apparition, la Tunisie a décidé de vacciner les personnes de plus de 60 ans.
Il a souligné que l’objectif de l’initiative « Covax » est de vacciner 2,3 millions de Tunisiens, soit 20% des Tunisiens, soulignant la nécessité d’accélérer le processus de vaccination après le lancement de la campagne nationale de vaccination le 13 mars dernier.
Il est à noter que la Tunisie a reçu aujourd’hui le troisième lot de vaccins contre le virus Covid-19, dans le cadre de l’initiative mondiale « Covax », qui comprend 158 400 doses du vaccin britannique « AstraZeneca », après avoir reçu 98 400 doses de ce vaccin dans un premier lot, au début du mois d’avril.
Ben Youssef Borhen
18 mai 2021 à 16:12
Ce vaccin est au centre d’une polémique mondiale compte-tenu de ses effets secondaires qui a amené un certain nombre de pays de l’abandonner tel le Danemark, l’Autriche à partir de juin 2021; la France peine à écouler les 3.000.000 de doses qui lui restent, Israël essaie d’annuler le contrat avec le laboratoire et se propose même soit de revendre les doses ASTRAZENZCA à d’autres pays ou d’en faire don à l’OMS pour les redistribuer à d’autres pays nécessiteux.
va-t-on communiquer à la population toutes ces donnés et leur donner libre choix du vaccin à inoculer ASTRAZENECA ou PFIZER.
Fabie
22 juin 2021 à 20:42
c’est clair on essaie de s’en débarrasser sans tenir compte de la population, ces vaccins sont très dangereux ,je connais des personnes qui sont mortes où qui ont faillit mourir à cause d’eux